La pissaladière est une entrée typique du sud de la France qui rappelle les apéritifs à l’ombre des platanes. En fait, elle provient de la région de Nice, mais elle s’est taillé une place gastronomique de choix au sein de la cuisine provençale.
C’est une entrée très facile à faire et toujours appréciée lorsqu’on la porte au centre de la table avec une salade croquante ou bien un taboulé ou bien qu’on l’a partage entre amis lors d’un pique-nique avec une soupe froide de courgette
Vous vous doutez bien que c’est une recette familiale du côté de ma blonde ! On vous partage ici la recette de son oncle Jean-Jacques qui fait selon Éricka « les meilleures pissaladières au monde ».
N’oubliez pas de l’accompagner d’un beau « Côtes de Provence » bien frais et régalez vous ! Vous en avez pas au frais, sortez un bon vin de Cassis sur la table. Le genre de recette, pratique à avoir sous la main pour recevoir un vendredi soir les copine Ou à servir en apéro avant votre soirée grillade du samedi soir.
Au restaurant en apéro quand cette dernière est au menu ! Demandez à Ericka de vous faire un kir ! Ou bien découvrez notre carte des vins festives et natures .
Que savons nous de la pissaladière ?
Elle tire son nom du “pissalat” qui est une purée de poissons salés. Cette purée est fabriquée à base de poutine, une sorte d’alevin de sardines et d’anchois. La pêche à la poutine est rigoureusement encadrée depuis les années 1990. Jusqu’aux années 1860, elle était même interdite. Seulement une trentaine de pêcheurs de la région sont autorisés à la pêcher, par souci de préservation du milieu naturel. C’est pourquoi il est difficile de s’en procurer de nos jours. Par conséquent, plusieurs personnes cuisineront la pissaladière en y mettant à la place de beaux filets d’anchois.
Sinon, cette entrée sera aussi parfaite avant la soupe au pistou !
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