Ce gâteau aurait officiellement été inventé pendant la première moitié du XVIIIe siècle, quand le roi de Pologne, Stanislas Leszczynski, beau-père de Louis XV alors duc de Lorraine et installé à Nancy, trouvant le kougelhopf trop sec demanda à ce qu’il soit arrosé de vin Tokay, que l’on a plus tard remplacé par le rhum.
De nos jours, le gâteau au rhum a ses multiples variantes et chaque pays en a fait une recette. Par exemple, nos amis italiens l’arrosent de Limoncello !
Si la France est souvent citée en référence de cuisine française gastronomique avec son bien connu « Baba au rhum », le Québec n’a rien à lui envier et se défend très bien avec son gâteau au rhum. S’il y a un dessert qui ne lasse personne, c’est bien celui-là.
C’est une de mes recettes familiales préférées de Noël. Un classique de ma mère ! En effet, au temps des fêtes, ce gâteau est sans contredit un grand classique comme notre pouding chômeur. Il n’y a pourtant rien de plus simple à exécuter car tout est question d’assemblage et de mélange. Je le surnomme d ‘ailleurs « le gâteau Lego ». Voyez pourquoi en essayant cette exquise recette.
Dans notre restaurant à Verchères, je vais certainement le travailler à ma sauce pour lui mettre une touche Tandem, Un clin d’oeil à notre voisine qui à d’ailleurs un drink à son nom dans notre carte des vins et des cocktails.
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C’est un petit cadeau que je vous fais en partageant cette recette du livre de ma grand-maman. Tout comme la recette du millefeuilles de Grand-maman.
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